Le 17 mars 2009 j'ai donc rédigé une brève.
Sur Dire Lot , un mensuel lotois, brève osant un peu ironiser sur un édito de M. Pascal Serre,
un édito sur la flatterie.
Naturellement M. Pascal Serre, rédacteur en chef, n'a pas demandé la suppression de cet article : il connait le fonctionnement du monde de la presse, où,
heureusement, on peut se permettre d'ironiser !
Dans cette brève, j'accordais quelques mots à un article sur Léo Ferré...
un article signé Isabelle de Giverny...
Et Mademoiselle ou madame Isabelle de Giverny a exigé fin 2009 le retrait de mon commentaire sur son article !
Par lettre recommandée.
Je n'ai naturellement pas répondu à cette demande infondée sans adresse mail fournie.
Le 16 mars 2010, je reçois un nouveau recommandé de mademoiselle ou madame Isabelle de Giverny. Elle réitère !
Alors : un an après ma brève :
- Mademoiselle ou madame Isabelle de Giverny, vous avez signé un article dans un mensuel en vente libre et présent dans AU MOINS une bibliothèque du Lot.
En janvier 2009.
- Conformément à la liberté de la presse, j'ai rédigé une brève en mars 2009.
- Vous n'avez pas contesté ma brève, n'utilisant pas le droit de réponse que tout personne possède. Il vous aurait suffit de le demander poliment !
- Vous me mettez "en demeure d'entreprendre sans délai la suppression de tout référence à [votre] article sur Léo Ferré".
Votre demande est infondée. Si vous refusez que l'on commente vos écrits dans DIRE LOT vous n'avez qu'une solution : ne pas en écrire.
- Mademoiselle ou madame Isabelle de Giverny, vous me faites perdre du temps. Et le temps est ESSENTIEL pour un écrivain
- Vous m'avez envoyé une page de google.
Alors, au sujet de GOOGLE, je vous signale :
c'est peut-être injuste mais lors d'une recherche "écrivain" j'arrive régulièrement en première page !
- Imaginez un pays où il faudrait DEMANDER L'AUTORISATION avant d'écrire un article, une brève ?
Comment réagirait M. Pascal Serre, le rédacteur en chef, si une personne sur laquelle un article fut écrit exigeait LA SUPPRESSION de son nom dans l'article ?
Que serait la France si Stéphane Guillon devait soumettre ses chroniques à Philippe Val ou Stéphane Ternoise les soumettre à... devinez qui !
Stéphane Ternoise.
Le 17 mars 2010
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