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Certes Héloïse d'Ormesson ne publie pas que son père, la maison Héloïse d'Ormesson peut se prévaloir d'un véritable nom mais quand une fille publie son père, est-ce de l'édition en filiation ? De l'auto-édition par procuration ?
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Alors que l'auto-édition souffre toujours d'un regard assez méprisant des grands médias, monsieur Jean d'Ormesson édité par sa fille est invité partout ! Certes, Ternoise n'a pas son parcours mais Ternoise n'a pas son âge !
C'était juste pour vous faire remarquer : je ne suis pas choqué que Jean d'Ormesson préfère partager les bénéfices de ses écrits avec sa fille plutôt qu'avec Arnaud Lagardère.
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- Commentaire (avis 1), du 21 août 2014 à 10 H 14 : en 1909, à la Porte Saint-Martin, Lauzun, comédie en quatre actes, en collaboration avec François de Nion ; en 1913, de nouveau à la Comédie-Française, une comédie en quatre actes : Vouloir ; en 1926, au théâtre Moncey : Ne fais pas ça, trois actes en co
Le tremblement du corps s'arrêta. Il parut s'endormir. C'était fini. Il était trois heures de l'après midi. » »
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- le 24 décembre 2011 à 12 : 11
par Héloïse : mais personne ne se permettrait de ne pas parler de cette Héloïse d'Ormesson quand elle publie son papa. |
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- le 11 octobre 2011 à 21 : 50
par Jean : Ah Jean d'Ormesson, la joie des dentistes et du Figaro ! |
Article du 11 octobre 2011 à 20 : 51.
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