Naturellement, ce n'est pas la France 2022 mais une dystopie ce "Dès que l’État fut au service des milliardaires, les subventions atterrirent dans leurs poches..."
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Dès que l’État fut au service des milliardaires, les subventions atterrirent dans leurs poches.
Oh pas de manière directe, ils surent y mettre les formes pour toujours faire croire à un rôle de soutien d’activités essentielles.
Ainsi l’État subventionnait toujours la culture, la littérature, mais naturellement ceux qui le méritaient, à condition de présenter un contrat avec un éditeur reconnu, dont la liste fut limitée pour éviter les éditions de complaisance, limitée jusqu’à parvenir aux éditeurs chapeautés par des milliardaires.
Ainsi ces éditeurs ont raboté les droits d’auteurs, et ceux qui refusaient se retrouvaient sans éditeur sésame d’un vaste réseau de distribution et communication, sésame des bourses, résidences d’écritures, cagnottes de mécènes...
Une courte citation issue du roman
"Là où nous allons. Soumissionie l’autre nom du pays"
Aucun extrait ne peut vous résumer ce roman. Mais confronté à son invisibilité, j'essaye ainsi d'obtenir un peu d'attention. De passer dans les fissures du mur des installés.
Cette invisibilité ne me surprend pas puisqu'elle est un des thèmes du roman.
Les puissants ont la possibilités de rendre invisible toute oeuvre non validée par l'un des leurs.
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Dès que l’État fut au service des milliardaires, les subventions atterrirent dans leurs poches... Oh pas de manière directe, ils surent y mettre les formes. Ainsi pour la littérature...
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Note supplémentaire :
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Là où nous allons. Soumissionie
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