le cheminement du sixième roman mai à septembre 2013. de la pré-sortie discrète de mai à l'édition papier de septembre

Sortie officielle : 22 mai 2013.
Pré-sortie discrète : 1er mai 2013.

Etre éditeur indépendant nécessite d'inventer de nouvelles approche...

Mais si vous n'avez pas acquis ce roman avant septembre 2013, découvrez une étape essentielle...

Le roman désormais commercialisé ne comporte plus ces précisions :

Précisions

Entre la pré-sortie discrète du 1er mai 2013 et la sortie officielle du 22 mai 2013, j'ai séjourné quinze jours en Afrique, premiers pas sur ces terres lointaines où il me faudra peut-être bientôt m'exiler, faute de financièrement pouvoir continuer à vivre en France où l'argent de la culture permet à une oligarchie d'exclure les indépendants. Une relecture, d'infimes modifications. Donc version 2 !

Ce texte est passé dans "mon gueuloir". Comme Gustave Flaubert je crois en la nécessaire harmonie, à une "prose poétique", au rythme des phrases. Il correspond donc exactement à ce que je souhaitais obtenir. Mais entre le texte achevé et la publication, dans une situation "normale" (il n’existe pas de "situation normale" pour un écrivain en France en 2013 !... ni pour un Président mais c’est un autre sujet) ce roman aurait été confié à une correctrice. Seuls des amis l’ont lu. Ce qui n’est pas suffisant, je le sais d’expérience !, pour éradiquer l’ensemble des coquilles (néanmoins ce texte ne doit pas en receler plus qu’une publication chez Gallimard !)
J’ai récemment lancé l’opération "une faute découverte, un livre offert"... je pense qu’il en reste quelques-unes dans ce sixième roman, occasion pour vous d’obtenir gratuitement un autre de mes livres !
Je demande simplement (voir le texte "La charte de qualité de l’auteur indépendant") un envoi dans les huit jours de votre achat (donc avec spécifié l’endroit, la date et l’heure d’achat... oui toutes ces informations me remontent via mon edistributeur Immateriel), page contact de www.ecrivain.pro.

Être indépendant, c’est également savoir qu’on vous pardonnera moins qu’à une grande maison où la responsabilité semble diluée par le nombre de salariés (ou le nombre de millions d’euros de fortune du grand patron), qu’on vous attaquera facilement sur ces petites choses...